En tant qu'étudiant universitaire, je saisis avec ferveur cette opportunité qui nous est offerte, en tant qu'Algériens, d'exprimer nos positions et nos aspirations pour une Algérie meilleure.

Premièrement, afin de consolider le front politique intérieur et de garantir la préservation de notre système républicain et démocratique, je préconise l'imposition à tous les partis politiques d'intégrer un quota déterminé de jeunes et de diplômés au sein de leurs instances. De même, je propose que les listes électorales aux élections législatives incluent un pourcentage significatif de jeunes et de diplômés.

Deuxièmement, je suis d'avis que pour ériger une nation forte, il est impératif de doter le pays d'un gouvernement qualifié et compétent. Par conséquent, je préconise la mise en place d'un gouvernement technocratique, plutôt que d'un gouvernement émanant de la majorité parlementaire, pour une période minimale de dix ans. Cette approche permettrait d'initier, de superviser et de concrétiser des projets dans divers secteurs, avec des experts compétents, tout en maintenant un système semi-parlementaire qui octroie davantage de prérogatives au Parlement.

Dans un autre registre, bien que je m'oppose à l'islam politique, je constate que la laïcité en tant qu'idéologie ne saurait prospérer en Algérie, car elle ne résonne pas avec notre peuple. Par conséquent, je suis d'avis que maintenir un juste milieu en matière d'islam demeure l'option la plus adaptée à notre pays.

En terminaison, je tiens à adresser mes encouragements les plus sincères à Madame ASSOUL ainsi qu'à son équipe dévouée. Leur dévouement et leur compétence les placent indéniablement en bonne position pour occuper la fonction présidentielle avec honneur et succès.